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Cybelle - Page 6

  • Portrait connu

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    J'ai enfin trouvé la dame aux gants, c'est Mademoiselle Caroline Riviére, painte par J.A. Dominique Ingres un peintre français, le collectionneur avait beau essayé de l'avoir mais la soeur de Caroline l'a légué au Louvre en 1870 ... et ce n'est qu'une enfant de 13 ans!

     

     

    Jeunesse, fraicheur, fragilité, visage candide.

  • Ici et là

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                                                                                                   Soliman

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    Hier j'ai passé une agréable après midi, chez des amies à la banlieue sud de Tunis, la plage n'était pas fameuse comme toutes les plages tunisoises d'ailleurs, ( en réalité soliman fait partie du gouvernement de Nabeul, pourtant on la prend pour tunisoise) mais l'endroit paisible, la compagnie amusante, l'atmosphére feutrée, surtout le couché de soleil sur la mer, un phénomene merveilleux puisque rare vu que la majorité de nos cotes sont du coté est, à l'exception des îles et quelques golfs en fer à cheval, tel que cette plage de Soliman

     

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                                                                                                        kélibia

     


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                                                                                         Hammam Rzez

    Ma plage préférée se trouve au Cap Bon, à coté de la belle Kélibia, c'est "Hammam Rzez", je ne suis pas sure de l'orthographe mais la plage une merveille, le comble je ne m'y suis jamais baignée, je la désire terriblement.. cette plage. 
     
  • Bribe d’une chamaille

     

    J'ai vu cette photo, un feux sur une surface de lac glacé, et je me suis rappeler d'une drôle de dispute avec mon amoureux, comme je garde toujours mes historiques, et qu'on garde toujours des preuves écrites, si l'on trouve, de nos plus forts moments, en voici une coupure, et un fort moment de peine et de bonheur, du feu et de la glace;

    dim. 04/01/09 22:31

    ....

    Il a dit :

    Je crois que je tu veux que je disparaisse de ta vie ! Tu veux qu'on se quitte c'est ça??

    J’ai dit :

    Mais ce n’est pas vrai, tu m’obsèdes !

    Il a dit :

    Comment je peux t’obséder, avec mon soit-disant égoïsme, mon intimidation ??

    J’ai dit :

    Quand je dis tu m’obsèdes ce n’est pas une hyperbole, c’est que tu m’obsèdes vraiment, obsession ce n’est jamais un truc positif, obsession c’est continuer à penser que respirer est bien marrant tant que toi tu respires c’est accorder une liaison entre toi et tout ce que je vois, c'est pénible.

    Il a dit :

    J’ai envie de sortir que le vent m’emporte, que c’est terrible tout ça!!

    J’ai dit :

    La terreur c’est craindre voir un mot maudit défiler, la terreur de voir le fameux "adieu".

    Il a dit :

    Ça c’est le pire, on ne se dit jamais adieu quoi qu’il arrive !

    J’ai dit :

    Le pire c’est ce qu’on frôle de temps à autre, ce qu’on craint et ce qu’on pense être capable de supporter quand on est en colère et ce qu’on se trouve incapable de l’imaginer quand tout va bien.

    Il a dit :

    Je t‘aime !

    J’ai dit :

    Pourtant on veut se prouver que c’est fini alors qu’on recommence dans la seconde qui suit à s’aimer plus fort, alors oui je t’aime….

    Pourtant on n'a pas cessé de nous échanger des mots empoisonnés et des mots de velours jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ne plus pouvoir écrire, le feu s'est éteint, la glace s'est fondue, il n'en est resté qu'une trace humide et tiède, un bon départ pour le lendemain! Comme tous les amoureux!

     


  • Portrait inconnu

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     J'avais un livre que j'ai prêté à une amie, je ne l'ai pas vu depuis, "La chasse aux chef-d'œuvres" c'est l'autobiographie d'un collectionneur américain, que j'ai oublié le nom d'ailleur, il y avait les photos des tableaux qu'il a déniché, ceux qu'il a donné aux National gallery of art of washington, The Huntington Library, parmi lesquels The blue boy de Gainsbourough, Pinkie de Lawrence, La femme à l'eventail de Rembrandt aussi, bref, sur cette photo de mur encombré, il y'a un de ces tableau, ( encadré en rouge), le portrait de la femme en robe ivoire et gants, je pense que c'est une toile anglaise mais j'arrive pas à me rappeler le nom du peintre ni le titre du tableau.

  • Lettre de Napoléon à Joséphine

    J'admire les lettres de l'Empereur, je ne m'ennuie pas de les lire et relire, celle là me touche spécialement, j'en deduis qu'un homme amoureux est un homme foutu!
     

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            Depuis un mois, je n'ai reçu de ma bonne amie que deux billets de trois lignes chacun. A-t-elle des affaires ? Celle d'écrire à son bon ami n'est donc pas un besoin pour elle ? Dès lors celle d'y penser... Vivre sans penser à Joséphine, ce serait pour ton ami être mort et ne pas exister. Ton image embellit ma pensée et égaye le tableau sinistre et noir de la mélancolie et de la douleur...
    Un jour peut-être viendra où je te verrai ; car je ne doute pas que tu ne sois encore à Paris. Eh ! bien, ce jour-là, je te montrerai mes poches pleines de lettres que je ne t'ai pas envoyé parce qu'elle étaient trop bêtes - bien, c'est le mot. Bon Dieu ! Dis-moi, toi qui sais si bien faire aimer les autres sans aimer, saurais-tu comment on guérit de l'amour ??? Je paierai ce remède bien chère. Tu devais partir le 5 prairial ; bête que j'étais, je t'attendais le 13. Comme si une jolie femme pouvait abandonner ses habitudes, ses amis, sa madame Tallien, et un dîner chez Baras, et une représentation d'une pièce nouvelle, et Fortuné, oui, Fortuné !
    Tu aime tout plus que ton mari ; tu n'as pour lui qu'un peu d'estime, et une portion de cette bienveillance dont le cœur abonde. Tous les jours récapitulant tes tord, tes fautes, je me bat le flancs pour ne te plus aimer, bah ! voilà-t-il pas que je t'aime davantage. Enfin, mon incomparable petite mère, je vais te dire mon secret : moque-toi de moi, reste à Paris, aie des amants, que tout le monde le sache, n'écris jamais, eh bien ! je t'en aimerai dix fois davantage.
    Si ce n'est pas là folie, fièvre, délire ! Et je ne guérirai pas de cela (oh ! si pardieu, j'en guérirai) ; mais ne va pas me dire que tu es malade, n'entreprends pas de te justifier. Bon Dieu ! Tu es pardonnée ; je t'aime à la folie, et jamais mon pauvre cœur ne cessera de donner son amour. Si tu ne m'aimais pas, mon sort serait bien bizarre. Tu ne m'as pas écrit, tu étais malade, tu n'es pas venue. Le Directoire n'a pas voulu, après ta maladie, et puis ce petit enfant qui se remuait si fort qu'il te faisait mal ? mais tu as passé Lion, tu seras le 10, à Turin ; le 12, à Milan où tu m'attendras. Tu seras en Italie, et je serai encore loin de toi. Adieu ma bien-aimée, un baiser sur ta bouche ; un autre, sur ton cœur, et un autre sur ton petit absent.
    Nous avons fait la paix avec Rome qui nous donne de l'argent. Nous serons demain à Livourne, et, le plus tôt que je pourrai, dans tes bras, à tes pieds, sur ton sein.

     

    Roverbella, le 18 messidor

    Napoléon Bonaparte


     

  • Aznavour... j'y étais finalement

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    Enfin j'ai passé une magnifique soirée, à la fin il a chanté à cappella "Sur ma vie", faite pour moi, c'est bien chez Charles Aznavour qu'on trouve tous une chanson pour chacun, je lisais la prisonière de malika Oufkir, elle confirme ce que je dis:

    " nous avons une chanson préférée que nous ne nous lassons pas d'écouter. Il s'agit du générique du film "La lumiére des justes", interprétée par Charles Aznavour elle s'intitule "Etre".
    - Etre, mourir pour mieux renaitre.
    Est ce la voix poignante d'Aznavour qui nous fait sangloter? ou les paroles qui semblent avoir été écrites exprès pour nous. "
     

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  • La prisonnière

    mlka11.jpg" Nous n'avions pas de serviettes hygiéniques et nous utilisions des bouts de serviettes de toilette, taillés et retaillés jusqu'à l'usure. Il fallait laver ces chiffons, les passer à halima qui les mettait autour du feu et attendre, les jambes ecartées qu'ils aient séché pour pouvoir s'en servir à nouveau."

     Un passage de la prisonnière, de Malika OUFKIR et Michéle FITOUSSI, Malika la fille du général OUFKIR, séquestrée avec sa mére et ses fréres et sœurs, 19 ans dans les gêoles d'Hassan II, la prisonnière, histoire véridique d'injustice, de frustration, de combat fervent pour la vie. Malika m'a fait sourire, frissonner, pleurer. Un livre à lire, à vivre.

     

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  • Aznavour... serai je enfin à Carthage?

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    J'ai été aux anges quand j'ai appris que le Dieu de la chanson française sera finalement sur la scéne antique de notre majestueux amphithéatre, j'ai attendu des mois comme tous les tunisiens amoureux de la voix sublime, la confirmation de la date du concert, et puis j'ai guetté l'apparition des tickets, en vain parce que et malgré tout, ce n'est pas facile de les avoir, en ligne, le stock était rompu en un clin d'œil, aux guichets, pas de tickets en vente, deux vols paris-tunis, vont charrier des fans français pour assister au concert, et nous priver de quelques centaines de places, apparemment aznavour ne chantera plus en france!!! sinon le reste, où est il passé??? les 10 000 tickets!!!!
    Finalement j'ai par chance pu convaincre mon petit voisin, qui ne connait du répértoire aznavourien rien que le mot " la bohéme" - le cas de nombreuses personnes qui y seront juste pour le vice, de me vendre son ticket gradins à cents dinars,(76d prix fixé par les organisateurs)  il a acheté un cellulaire, et moi je n'ai plus d'argent de poche pour une semaine, et là j'ai perdu l'envie d'y aller parce que, un peu superstitieuse, je pense que j'allais tomber et me briser le cou sur les gradins.
    Rien ne vient facilement, c'est pourquoi on savoure mieux aznavour! 

     

  • Un petit bout d'histoire

     

     

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    Ce passage est extrait d’un article paru dans le numéro 1147/48 du JEUNE AFRIQUE le 29 Décembre 1982 :

    Tout sur Sabra et Chatila

    je n'ai trouvé que la dernière page, je cherche le reste,

    …..

    - Jeudi à 15 heures, Drori appel Sharon pour lui annoncer que tout est prêt pour l’opération.

    - Jeudi à 17 heures, quinze à vingt cinq jeeps fournies par les israéliens et transportant quelques 150 miliciens pénètrent dans les camps palestiniens avec la bénédiction des barrages israéliens, un homme commande ce premier convoi : Elias Hobeika.

    - Jeudi à 19h30, une réunion spéciale du cabinet israélien approuve l’entrée des milices chrétiennes dans les camps. La discussion dure exactement cinq minutes.

    - Jeudi à minuit, la radio militaire israélienne annonce que « l’armée a décidé que les tâches de nettoyage de Sabra et de Chatila seront confiées aux Phalanges »

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    L’armé israélienne couvre les phalanges et leur fournit un soutien logistique

    Mercredi à midi, Tsahal avait hermétiquement bouclé tous les camps pour ne laisser passer que les assassins, le lendemain. Le soir de ce même jour les occupants coupent l’électricité. L’artillerie et l’aviation lancent des fusées éclairantes à grande cadence pour permettre aux miliciens d’exécuter leur basse besogne. Auparavant les israéliens ont tiré des obus pour intimider la population.

    Vendredi, quelques centaines de malheureux, qui essaient de fuir, sont repoussés par les barrages israéliens, alors que de nouveaux miliciens pénètrent dans les camps. Lorsque les Phalangistes terminent leur « travail », samedi matin, l’armé israélien leur sert un bon repas avant qu’ils ne retournent chez eux fiers de leurs « exploits ».

    La boucherie aura duré du jeudi 16 septembre à 17 heures au samedi 19 à 10 heures.  Amnon Kapéliouk établit ainsi le bilan de ses quarante heures de folie : environ 2000 cadavres retrouvés, auxquels  il convient d’ajouter quelques centaines de corps ensevelis dans des fosses communes ou sous les décombres des maisons détruites. Au bas mot 3000 palestiniens et libanais, sur les 20000 que comptent les deux camps, soit 15%, ont été assassinés. Il faut compter encore quelques centaines de disparus emmenés vers le sud dont beaucoup ont dû être massacrés en cours de route.

    Les israéliens savaient parfaitement ce qui se passait dans les camps

    Ils ont observé quarante heures durant le carnage du septième étage d’un immeuble de l’armé libanaise. Jeudi à 23 heures, le chef des Phalanges transmet au général Amos Yaron ce message : « Jusqu’a ‘a présent 300 civils et terroristes ont été tués. » Rapport aussitôt transmit à Tel-Aviv.

    Les soldats israéliens rapportent avoir vu d’on ne peut plus la tuerie. Tous reçoivent un ordre formel : ne pas intervenir.

    Plus grave l’état major du Tsahal était directement informé. Le correspondant militaire du journal Haaretz Zeev Schiff, a prévenu le ministre des communications Zippori, dès vendredi matin que des massacres se déroulent dans les camps. Ce dernier a prévenu à son tour, le même jour, le ministre des affaires étrangères, Yitzhak Shamir, sans résultat.

    Devant le Knesset, Sharon affirmera qu’il a fait arrêter les massacres dès le vendredi. Il a menti : le même jour, les phalanges renforceront leurs troupes. Alerté par le général Amos Yaron, commandant du front nord le général Drori demande vendredi à 11 heures, des explications à l’officier de liaison phalangiste qui lui répond : « Certains de nos commandant ont perdu le contrôle de leurs hommes. » Drori donne des instructions pour que les tirs cessent mais… sans prendre de mesures pour les faire cesser.

    Alerté à son tour par Drori le général Eytan atterrit à Beyrouth dans l’après midi. Il réunit des officiers phalangistes. Après avoir écouté leurs rapports, Eytan leur a accordé un délai supplémentaire : samedi 18 septembre.

    Et Begin ? Eytan a déclaré devant la commission d’enquête  que le premier ministre israélien l’avait appelé samedi matin à 9 heures pour lui faire part des plaintes américaines sur ce qui se passait dans les camps. Begin prétendra l’avoir « oublié » et n’avoir appris les massacres que par… un bulletin de la BBC le samedi à 17 heures ! La commission d’enquête du juge Yitzhak Kahane ne croit pas à son innocence et l’en a prévenu.

    L’état major israélien contrôlait bien la situation qu’il a pu arrêter les massacres le samedi à 10 heures tapantes. Sans tirer un coup de feu, sans envoyer un seul soldat israélien dans les camps.


     

  • Saint-louis de Carthage

    « Louange à Dieu l'Unique, auquel retournent toutes choses !
    Nous cédons à perpétuité à Sa Majesté le roi de france un emplacement dans la Mamlaka, suffisant pour élever un monument religieux en l'honneur du roi Louis IX à l'endroit où il est mort. Nous nous engageons à respecter et à faire respecter ce monument consacré par le roi de France à la mémoire d'un de ses plus illustres aïeux. Salut de la part du serviteur de Dieu, Hussein-Pacha-Bey. Que le Très-Haut lui soit favorable ! Amen.
    Le 17 de safar de l'année 1246. Fait au Bardo le 8 août 1830. Au consul général Mathieu de Lesseps »

     
    C'est sur la colline de carthage, qui porte le nom grec de Byrsa ou "peau de boeuf", que le roi Louis-philippe Ier ordonne l'édification de la chapelle Saint-louis, en l’honneur du roi qui mourut de la peste en 1270, durant la 8ème croisade. Aux côtés de cette chapelle le cardinal Lavigerie fait construit en 1893 une cathédrale, actuellement reconvertie en un lieu de culture.
     
    cette inscription, gravée sur une facade: "SCHOLA MVSIV CARTHAGIENSIS INDEO PAX ET CONCORDIA SIT CONVIVIO NOSTRO", j'ignore ce que c'est

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  • Petit hommage au roi de la pop

    6a00d8341d65e953ef00e554945e828834-800wi.jpgIl n'y a pas de fin, il n'y a pas de début, juste un amour infini de la vie et l'amour c'est la seule chose qu'on emporte avec soi.
    L'amour de tous ses fans.
    Reposes en paix Michael JACKSON. 

     

  • Pour une étoile dans un cordon cuire

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    publiée par Makhila, Ghariba Djerba

     

     

    Un bel après midi ensoleillé de juillet, il y'a plus de deux ans, j’étais en train de déjeuner avec un charmant dentiste français, on résidait au même hôtel à Hammamet, on parlait de généralités, des dentitions, des faux bijoux, et puis j’ai regardé spontanément son cou, il portait un collier en cuire dont le pendentif est caché sous le T-shirt, j’avais envie de savoir ce que c’était, mais je n’ai pas osé lui demander.

    Après le déjeuner, j’ai gagné ma chambre pour une sieste et il est parti prendre un bain de soleil, le soir on s’est croisé dans une allés pavée de galets, il revenait de la plage, torse nu, j’ai regardé de nouveau son cou, une petite étoile dorée accroché au cordon cuire, une étoile de David. J’ai fait semblant de ne pas la voir, c’est discourtois de viser les détails, ça pourrait l’offenser.

    Il m’a regardé, j’ai souri pour m’excuser, j’étais odieusement curieuse, mais ce fut un peu tard, il était déjà outré. J’ai avancé pour partir, il s’est retourné, m’a pris le bras, et m’a dit : Qu’est ce qui ne va pas mademoiselle?- j’ai dit : non tout va à merveille !! A ma grande surprise il me sorte : je le savais, vous êtes anti-sémiques vous autres aussi!! , je m’attendais à un commentaire sur l’indiscrétion dont j’ai fait témoin, jamais à ce genre d’accusations, surtout que je n’ai aucune circonspection contre les juifs, ou quiconque, d’ailleurs à part les criminel de l'humanité sionistes ou autres. Je n’ai pas à me défendre, je me suis contentée de dire : mais monsieur vous vous trompez, on ne peut pas l’être, simplement on est un peuple sémique nous aussi !!!

    Ce malentendu m’a ébahit, parce que la Tunisie est une exception, un pays arabe, relativement étroit, abrite en son sein, juifs et musulmans qui s’entendent à merveille, une minorité juive certes, ce qui reste après l'exode et le guerre des six jours, mais extrêmement fusionnée dans la société, « c’est même à Djerba qu’on peut faire l’une des rencontres les plus étonnantes que le monde actuel puisse proposer, des juifs et des musulmans qui ne se haïssent pas, une communauté juive vit en effet dans l’ile depuis vingt six siècles, vingt six siècle de la destruction de Jérusalem par Nabuchodonosor. »

    Comme même depuis peu quelque chose parait avoir changé, Djerba compte de moins en moins d’habitants mais c’est de loin à cause de la présence des juifs, les rapports que les juifs entretiennent avec la population musulmane sont amicales, Israël n’intéresse pas les juifs djerbiens, « ce caractère tunisien qui met d’ailleurs une si grande opiniâtreté a affirmé qu’il ne ressemble en rien à celui par exemple des pays frères tel que l’Algérie ou l’Egypte. »

    Ce discourt du président Bourguiba lors d’une interview, il y’a plus de vingt ans, avec le journaliste français qui a écrit les passages que j’ai emprunté, confirme ces propos : «  Les peuples arabes du moyen orient que j’ai connu depuis longtemps, une vingtaine d’année, c’est autre chose, une autre mentalité, ils vivent un peu dans le sentiment, dans la passion, parfois dans l’irréel, le complexe et malheureusement il n’y a pas de leader assez courageux assez honnête, pour aller à contre courant et essayer de montrer ce que j’ai fait en Tunisie, essayer de freiner un peu cette tendance à la pensée irréelle, pour amener les jeunes, les cadres, à une conception plus saine de la réalité et à un sens de l’efficacité sans lequel les mots n’ont aucune espèce de valeur, ça viendra peut être… »

    Les tunisiens sont ouvert et convivial, les autres ne changent pas, ça viendra peut être…

     

    La photo : Le vieil homme est un tunisien, on le connait à première vue grâce sa chéchia sanguine, juif ou musulman, on doit se crever les yeux pour voir si le livre est en arabe ou en hébreux. La faïence, celle d’une mosquet ou d'une synagogue, c’est moi qui le dit, c'est la Ghariba. Les images en parlent mieux de la Tunisie.

     

     

     

  • Divanphile ou fille seule!

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    insomniac, Daniel GIRAUD.

     

     

    Parfois, comme ce soir, je lutte pour dormir.

    L’insomnie me torture, et la cause c’est le lit ! Bizzard non !

    Mon petit lit pourtant douillé, mais vide.

    Et bien je n’aime pas les lits, pour dormir je préfère les divans, c’est chouette.

    Un lit c’est toujours aplati et vaste, un divan est plus étroit certes, mais c’est accueillant, avec ses reliefs, je me sens enveloppée, j’enfouis mon visage dans le dossier, peu  confortable  toutefois adorable ! Ça me rappelle d’ailleurs les gens qui aiment les chats, ils se frottent les mains et les joues contre les boules chaudes de fourrure vivante sans craindre les griffes.

    Je n’aime pas trop les chats, je préfère les chiens, encore plus les divans.

    Chatophile ou « divanphile »  on cherche tous un refuge, on manque de tendresse et ça craint, quand on a son lit vide mais pas son cœur, on a du mal à dormir.

    Ah je veux un divan là tout de suite !!!  Quoique, j’aurai besoin du divan des mensonges du docteur Ernest Lash.


  • La chasse aux rêves

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    J’ai perdu mon enfance ! – c’est normal, j’ai vingt quatres ans.

    Oui mais mon enfance c’est fini, je m’ennui dans ce monde adulte, je suis tel une pêche verte, ni fleur ni fruit mûr, âpre dure immangeable, coincée entre deux mondes différents, et je m’ennui.

    Je m’ennui parce que j’ai perdu mon insouciance, parce que le monde des adultes manque d’imagination et d’innocence, un monde sec, vide, incolore et froid malgré tout ce qu’ils ont pu endurer  pour l’embellir.

    Les enfants, eux, ne fournissent aucun effort pour ceci et ils sont dans les nuages, même les plus laids et les plus infortunés profitent de leurs vies.  

    Dans ce mode magique tous ce qui peut exister de différences s’effond.

    Quand j’étais enfant je m’endors rapidement, je m’endors pour voyager dans une bulle de savon qui atterrisse dans le pays des merveilles, où tout est envisageable, là bas le lièvre de Mars me servait de guide, je reconnaissais Alice et ses clés, les chaussures de Cendrillon, les longues mèches d’or de Rapunzel, la queue argentée de la petite sirène et le sourire de cerise de Blanche neige. Mille et une nuits s’ouvrent devant mes yeux curieux avides de beauté et de magie.

    Que Dieu bénisse les grands messieurs, Disney, Carroll, Perrault, Dumas, les Grimm's et compagnie !!

    A mon âge relativement jeune, je ne peux plus dormir comme avant, c’est normal quand je pense à toutes les terreurs de l’humanité avant de sombrer dans les cauchemars de la nuit, les portes du pays des merveilles se ferment, elles sont gardées par des ogres, des trolls, des dragons, des sorcières et toutes les maudites créatures expulsées comme moi du paradis enfantin.  

    Et je me réveille le matin avec la tête alourdie de sommeil et de vertige.

    Parfois j’ai tellement mal  que je crains dormir ou me réveiller, parce que dormir c’est chercher un rêve perdu.

    Et se réveiller c’est affronter la réalité qu’on n’a pas trouvé son rêve perdu, se  réveiller c’est recommencer à penser comme adulte, à affronter la réalité, à songer à l’avenir, à la vie, aux taches à accomplir, et on réalise qu’on n’est plus fait pour rêver comme les enfants.

    Alors je préfère rester coincée dans le sommeil jusqu’à trouver le rêve, ou me tenir vigilente et éveillée pour réaliser mes rêves d’adulte.

    Lequel est plus réalisable, je n’en sais rien !!


     

  • Lettre à l'homme qui est parti

     

    04 AOUT 2008

    Mon cher,

    Que c'est triste Tunis quand tu n'y es plus!

    Je ne vois pas l'intérêt de continuer à me réveiller à brosser les dents à manger, peut être je le fais instinctivement... mais ça devient pénible.. pourquoi je regarde le miroir?... quelle importance d'être belle si je ne le vois plus dans tes yeux...je suis coincée dans le passé j'arrive pas à admettre que le temps passe ce n'est plus la semaine dernière...mais tu hantes mes pensées, chaque cellule en moi te réclame, je vis pour t'aimer..

     

    Je revis nos rencontres, nos baisers, nos joies, nos disputes...ce qui me console c'est que tu éprouves la même chose.

    Mon amour...une joie partagée est une double joie un chagrin partagé est un demi chagrin...

    On partage la peine...intéressante cette peine pendant qu'on souffre on ne s'ennuiera pas...je me souviens de la derniére soirée... on dansait, tu me serrais, tu donnais l'impression d'avoir possédé le monde, j'avais le cœur en miettes!!

    Je me souviens que tu n'aimes pas que je traine derrière toi je t'avais pas dit que j'adore mettre les pieds là ou tu met les tiens j’adore suivre tes pas, aujourd'hui mon amour je suis perdue je n’ai plus de pas à suivre…

    Je ne me lasse jamais de te regarder marcher, manger, rire, boire, conduire, danser, je mobilise mes sens au maximum, je t‘observe intensément, j’écoute le moindre de tes bruits, je m’enivre de ton odeur.

    J’adore voir ta confusion quand je me plonge dans le silence.. tu étais prêt à tout pour le briser, quand parfois tu ne trouves pas les mots qu’il faut toi le roi de l'éloquence…

    Si tu savais combien je t’aime, ceci frôle la vénération! Si tu savais que tu représentes tout ce que «homme » peut présenter, mon amour mon père mon frère mon enfant mon ami mon confident.. je n’ai plus besoin d’avoir un autre homme dans ma vie…

    Si tu savais que j’étais prête à tuer pour que tu restes. si tu savais que j'ai toujours été jalouse à en mourir et que ça m’obsède et que je fais un effort de géant pour ne pas te le montrer et que je le sens à chaque fois qu'un être humain te touches, ça me fait honte parfois..

    Si tu savais mon amour que la vie n’a aucun sens loin de l’espace de tes bras.. qu’il fait froid et noir ici..

    Il faut que je m’arrête ici, je ne vois plus l’écran, mes larmes le brouillent...

    P.S: J’irai manger au restaurant de la derniére fois, au moins manger aura un sens…pèlerinage.

  • Air latino


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  • AL FATIHA

    AU NOM DE DIEU CLEMENT ET MISERICORDIEUX

    Louange à Dieu, le maître de l’univers, le clément, le miséricordieux

    Souverain au jour de la rétribution

    C’est Toi que nous adorons, c’est Toi dont nous implorons le secours

    Dirige nous dans sentier droit dans le sentier de ceux que Tu as comblé de Tes bienfaits

    Non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni de ceux qui s’égarent

      

    Je trouve cette sourate universelle, monothéiste simplement. L'ouverture du Coran, une ouverture pour toute oeuvre, toute oeuvre a une ouverture, ingéniosité!

     

  • La peur aux trousses

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    Ce soir j’ai peur, j’écoute le fameux Yumejis’s theme, seule chez moi, il fait froid, c’est janvier.

     J’ai peur, j’ignore pourquoi j’ai peur, mais je pense à la peur elle-même, Dieu quelle force !

    Bouleversante , envahissante, ravageant… la peur  dans son plus haut étage, pas celle que je sens ce soir, celle que seulement quelques moments de la vie peuvent en être marqués, une peur qui se sente dans l’air comme une odeur familière de sang pourri, des endroits humides, sombres et moisis, elle remonte brusquement des profondeurs de l’âme sans que la personne qui l’éprouve réalise qu’elle pue la peur, sans que le visage de cette personne reflète ce qu’elle endure.

    Une odeur infecte, fétide qui remplit l’atmosphère, discrète presque inaperçue, mais d’une puissance affreuse. Rares sont les gens qui la captent mais une fois perçue, on ne peut pas l’ignorer.

    C’est comme se trouver dans une foule, des personnes différentes mais ordinaires, des visages inconnus, atones, presque inexpressifs, on a l’impression subitement que quelqu’un est engourdi par la peur, souvent on ne peut pas l’identifier mais il est là, on ne se trompe pas, il pette la peur, il y’a cette odeur acerbe qui se faufile entre les corps pour atteindre nos sens, on ne cherche plus sa source, on est submergé par les mêmes sensations, un frisson parcoure le corps, une goutte de sueur froide coule au long du dos comme un serpent, des fourmis aux bouts des doigts, le coeur alourdi de sang s’écrase contre l’estomac, on veut pleurer ou courir, sa langue se noue, ses yeux se fixent sur un point de l’espace évitant de coincer les regards des autres, on se tient à peine debout perdant sa force et sa raison, toutefois, son visage reste calme.

    Ceci ne dure que quelques secondes, on est immobile face à un instant si fragile, puis on reprend son souffle, on se demande où est ce qu’on était, on se rappelle sa peur, mais rarement de ce qui l’a provoqué.

    Et l’odeur, quel odeur ?? On rigole, on se traite de paranoïaque, et on oublie.

    Pourtant, on l’a senti, est-ce une sorte d’amnésie sélective ? Le cerveau supprime le message pour réduire la souffrance. Mais l’odeur et son origine, l’inconnu et sa peur bleue, on n’y pense plus, une fois débarrassé de ses émotions futiles on continu sa route, et derrière, la peur hante une personne dépourvue d’amnésie.

    Je n’imagine pas ces choses, cela m’est arrivé à moi, c’était un après midi d’automne, j’ai arpenté par erreur une ruelle de la Médina de Tunis, une ruelle étroite qui serpente, on ne voit pas son débouché, j’ai poursuivi mon chemin sans me sentir égarée, ce n’est pas la première fois que j’engage une rue dont l’issue m’est inconnue, à la Médina on est toujours perdu, c’est ce qui fait sont charme, on fini toujours par se trouver sur un chemin familier, alors j’ai marché à pas tranquille, absorbée dans mes pensées,  la rue déserte ombrée, j’admirais les fenêtres en fer  forgé des étages, les portes fermées, sauf une, je l’ai remarqué au moment de baisser les yeux, elle était devant cette porte entrouverte, une femme menue, accroupie, reposant son visage sur une main, visage pâle mais serein, sa vue m’a un peu surpris, je commençais déjà à apprécier la rue dépeuplée, j’ai continué à marcher arrivant à son niveau, une brise d’air confiné et froid m’a frôlé la joue, mon cœur a sursauté comme un oiseau qui s’envole, du coin de l’œil j’ai rencontré ses yeux vides, rien en elle ne le montre, mais pour moi elle était la peur incarnée, et cette odeur sordide, convoque un souvenir d’enfance, un puits abandonné, une petite fille qui se penche, une masse d’air frais chargée d’une odeur inconnue et très répugnante souléve ses cheveux frisés, la vue d’un chien gonflé qui flotte à la surface d’une eau noire, c’était le jour où j’ai accordé à la mort une odeur, celle des cadavres en décomposition.

    Cette femme aux yeux vides, m’a regardé et j’ai su qu’elle  a su que je savais qu’elle avait peur. J’ai accéléré le pas, mais sa peur m’a suivit, elle s’est approché de ma nuque, et m’a léché la peau, et j’ai vécu ce moment bref et tranchant, mon cerveau ne m’a pas épargné ce supplice.

    Je n’oserai jamais repasser par cette rue, mais la peur n’habite pas là bas elle me coincera un jour dans l’endroit où je m’attendrai le moins, et elle me montrera ce dont elle est capable de faire.

    Saurai-je la regarder plein dans les yeux ??

    Oh Dame peur !! Vous ouvrez l’enfer devant nos yeux !

  • Bonjour délices

    358501757_1a00ed58f5.jpgAu saut de lit, une douce odeur suave de croissant chaud me chatouille les sens, au lieu d’avoir l’eau dans la bouche, je pense plutôt au premier café-croissant, aux turcs  vaincus, aux sacs de café laissés derrière, aux boulangers de la ville, aux viennoiseries… et je me dis si les turcs n’ont pas échoué à s’emparer de Vienne, on aura jamais connu ce délice qui gâte nos réveils matinaux.

    Un croissant aux amandes de chez Frédéric Comyn, meilleur croissant de Paris, un "caffe latte bio" de chez Mellqvist Kaffebar, le café shtockholmien de l’héro de Millénium, et une table à la grand’ place de Bruges.

    On quittera la vie volontiers après. 

  • Ils ont dit, j'ai dit....

    adameve1.jpgOn ne change pas la vie c’est la vie nous change, l’on nait une page blanche, l’on fini une page brulée. Quand je pense à tous les hommes qui ont pensé, analysé, développé des avis sur la vie, je ne peux que me sentir microscopique et voir mes propres pensées de minuscules gouttelettes dans l’océan sans fin de la mémoire de l’humanité, cet océan n’est autre que des gouttes comme les miennes qui se déposent et s’évaporent infiniment. Par moment j’aie l’impression de me noyer dans cet océan, je découvre en moi une personne presque inconnue, je découvre que l’âme humaine est un océan aussi profond, pas nécessaire d’observer et étudier plusieurs personnes pour l’admettre, ma personne me suffit amplement, je l’exploite,  je la guette, je la dissèque et je suis loin de l’admirer mais je ne peux pas prétendre que je la déteste, on est jamais objectif quand il s’agit de soi.

    Comme d’habitude, je cherche une définition pour mon être, je pense que c’est de mon devoir de trouver des explications et définitions pour tout ce qui m’entoure, faute à ma formation de biologiste, et à ma surprise je n’arrive même pas à cerner ce que j’aime et ce que je n’aime pas tellement c’est compliqué !!!!

    La philosophie me rend malade, l’existentialisme, et le méchant Sartre…

     Je préfère plutôt parler de Darwin, plus ouvert cet homme ! Et en l’évoquant je réalise que j’ai développé une certaine dérivée  de sa théorie, imprégnée par la culture musulmane, forgée dans les fourneaux de la science, ouverte et tolérante par nature, j’ai une capacité bizzare à accepter et mélanger des idées différentes contradictoires parfois pour en dégager une zone de « transit libre ».

    En ce qui concerne l’évolution, je pense que Dieu étant le plus grand savant, puisque créateur, a lui-même manipulé le processus de l’évolution, Dieu a crée la vie, au début ce n’était pas la vie comme on la connait maintenant, au début Dieu n’a pas décidé comment sera sa sublime créature, la plus parfaite, la mieux adaptée, la plus belle, IL a crée la vie, et Il l’a mi dans son immense laboratoire : la Terre,  et depuis, sur cette entité de base,  Il a agit, corrigé, retouché, ajouté, effacé, fusionné, augmenté, transformé, manié, éliminé, converti, rénové…  et la vie a changé la vie a évolué, le model final a été mis à terme par l’apparition des premières  espèces d’hominidés dérivant ,selon les preuves -très logiques de Darwin, d’autres espèces apparentées les unes aux autres, dérivant tous de la première unité de la vie, une seule et unique, une cellule.

    A ce niveau Mr Charles Darwin, n’a eu pas tort.

    La touche finale, Dieu récupère son model final, lui souffle une âme, ceci ne veut pas dire qu’il n’en avait pas avant, mais une âme comprend une raison, une conscience de ce qui l’entoure, une langue qui parle, un cœur qui bât différemment des autres créatures, c’est un Homo sapiens sapiens, c’est Adam un homme qui devrait peupler la Paradis… loin d’être parfais et infaillible, il s’est avéré pas digne du paradis…et on connait le reste de l’histoire.

    A ce niveau les textes sacrés n’ont pas  tort.

    Darwin a juste découvert comment Dieu a mis au point la structure du model, les textes sacrés ont raconté le reste de l’histoire, la partie que nos cerveaux  génies ne peuvent pas deviner.

    Tout le monde a raison, le tout fait l’histoire complète, Oh que c’est simple la vie !!!!

    Je me demande si aucun idiot n’a pensé à cela avant que je le note sinon j’irai vite réclamer mes droits d’auteur.

    Le désespoir nous fait dire des choses stupides, un jour Adam avait dû perdre son côte, Eve a vu le jour.

    Un jour j’ai perdu mon Adam et je préfère mille fois l’échanger contre un côte ou même en garder le nécessaire pour survivre et donner le reste pour le récupérer.

    D’ailleurs j’ai mal aux côtes depuis.