Au saut de lit, une douce odeur suave de croissant chaud me chatouille les sens, au lieu d’avoir l’eau dans la bouche, je pense plutôt au premier café-croissant, aux turcs vaincus, aux sacs de café laissés derrière, aux boulangers de la ville, aux viennoiseries… et je me dis si les turcs n’ont pas échoué à s’emparer de Vienne, on aura jamais connu ce délice qui gâte nos réveils matinaux.
Un croissant aux amandes de chez Frédéric Comyn, meilleur croissant de Paris, un "caffe latte bio" de chez Mellqvist Kaffebar, le café shtockholmien de l’héro de Millénium, et une table à la grand’ place de Bruges.
On quittera la vie volontiers après.