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  • Blue is the color

    Mes gouts musicaux sont très diversifiés et parfois inattendus, j'apprecie tout ce qui est beau et bien fait, et des milliers de morceaux et d'artistes se classent dans cette gamme, Elevis Presley, par exemple, j'aime beaucoup sa voix, certaines de ses chansons me touchent pourtant je ne suis pas amatrice du rock ou funk ou je ne sais quoi, Presley m'intrigue!! pourquoi il y'a toujours du bleu dans ces titres chansons, films... Blue Christmas, Blue suede shoes, Blue hawaii, Blue moon of kentucky, Moody blue, Blue vinyl, et surtout Blue eyes crying in the rain, que j'adore, cette chanson de Willie Nelson, le grand Willie, et ce fut la dernière interprétation de son existence, lors de sa dernière nuit, Elvis joue du piano et chante cette derniére "blue", pourquoi cet amour du bleu? je ne connais pas Elvis mais je veux savoir pourquoi il est "The king of blue"? il doit y avoir une histoire!!!

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  • Dara d'Angkor

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                                       DARA par Othmane TALEB

     

     

    Un de mes amis, (quelques vrais bons amis), architecte, peintre et photographe a fait récemment un voyage au Cambodge, magnifique à en juger des photos qu’il a ramené, photos fascinants, très humains, ahurissants,  d’un réalisme  prononcé, il compte les exposer, ou les mettre dans un livre avec ses mémos de voyages, il a miré les visages, il a été frappé par la misère à Angkor, ou dans le Floating village, au point qu’il a trouvé indécent de photographier, il a réussi enfin à avoir des clichés singuliers, thème : les enfants, naturels, infortunés, probablement ignorant l’existence du confort et des luxueuses villes d'ailleurs, paraissent satisfaits de leurs vie et ils sourient, ce qu’on se trouve parfois incapable de le faire pourtant en pleine opulence.

     En regardant les photos j’ai été captivé par un personnage intriguant, une fillette que j’ai appelé Dara (étoile en langue Khmer) et elle était la star de cet album, d’ailleurs j’ai eu droit à deux jolis bracelets qu’il lui les a acheté pour moi. Elle me rappelle une certaine Lily Masson de "AN EPISOD OF SPARROWS" livre de Rumer GODDEN.

    Elle était partout, avec son panier à babioles comme une vendeuse d’allumettes, belle malicieuse espiègle,  il a été  pris au piège de son charme lui aussi, partout, et son objectif l’a traqué . Elle est venue vers lui avec ses compagnons les vendeurs de babioles, ils ont proposé de deviner le pays d’origine des touristes et s’ils gagnent on doit leur acheter un souvenir !! Elle jouait avec ses amis,  un jeu primitif, comme leur vie, ils lancent des dés et celui qui gagne dessine sur le sable un des motifs qui orne le Temple, et qu’il prend pour emblème, celui qui dessine son emblème le plus marque son territoire !!  Moi même je me trouve emportée par une vague d’admiration pour cette Dara, princesse khmer et de ses bracelets.

    J’empreinte quelque photos pour mon blog. 

     

     

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  • Si mes vers avaient des ailes

    J'ai vu le film de René Clair hier, âgé de 84 ans(le film!), une histoire drôle, naïvement charmante, surtout quand le gardien de la Tour Eiffel se réveille et découvre que "Tout Paris dort", ban on peut voir quelques véhicules en circulation dans une rue lointaine!! On fait semblant que c'est un désert! Et puis se déchaine l'histoire, le gardien et des passagers d'un avion qui ont échappé à l'onde endormante d'un savant dérangé, très marrante, tout Paris était à leur disposition, ses magasins, ses banques, ses bars... ils ont foutu le bordel, mais enfin ils se sont trouvés ennuiés, une sagesse!!

    La cerise sur le gâteau était l'interprétation musicale, fluide, expressive et précise. La pianiste a récité quelques vers d’Hugo à la fin accompagnés de musique, un vrai coup de cœur, extrait de ses Contemplations,

    "L'âme en fleur"

    Mes vers fuiraient, doux et frêles,

    Vers votre jardin si beau

    Si mes vers avaient des ailes,

    Des ailes comme l'oiseau.

    Ils voleraient, étincelles,

    Vers votre foyer qui rit,

    Si mes vers avaient des ailes,

    Des ailes comme l'esprit.

    Près de vous, purs et fidèles,

    Ils accourraient nuit et jour,

    Si mes vers avaient des ailes,

    Des ailes comme l'amour.

     

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  • Mon petit chez moi de moment

    J'aime mon quartier, le Bardo, mes amies, mes chers palmiers, le bougainvillier des voisins vu de ma cuisine, la lune du Ramadan sur le vieux jardin de la vieille maison des Gribaâ, les aquacoles d'à côté, le musée et sa fameuse salle Virgile... je suis locataire, et je ne compte pas bouger d'ici, au moins pour le moment.

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  • Putumayo presents


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    Je suis prise d'une vague de nostalgie, je range mes CD quand j'ai tombé sur un que j'aime spécialement, mon tiroir de souvenirs, l'été 2008, les après midi sur la plage, les milles tours en voiture, les baisers volés, les fou-rires, les larmes d'adieu, et quand il est parti il m'a laissé l'album, "Salsa around the world" de Putumayo, j'évite de l'écouter, il me manquera encore plus!

    El Sol de la Noche, Salsa Celtica (Scottland)

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    La compilation magnifique inédite et originale, l'ésprit universel de cette maison de disque, la musique du monde, un label réussit, j'admire le choix laborieux d'artistes et surtout les couvertures touchantes des albums réalisés par Nicola Heindl, de vrais chefs d'œuvres.

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  • Paris qui dort

    paris.jpgIl pleut des cordes!! c'est la fin de l'été, Tunis pleure son été! chaleur suffocante la matin, jêune de 4 heure du matin à 19 heure et là les pluies, mais je sortirai comme même ce soir et tous les soirs, je ne raterai pas les soirées ramadanesques de la Médina, ce soir au Théâtre Municipale, le court métrage de René CLAIR, "Paris qui dort", de 1925, une vision poétique de Paris comme un conte de fée, comme la belle au bois dormant!! un muet certainement (j'en raffole), accompagné d'un collage musical interprété par un trio classique, piano, violoncelle et flûte : Isabelle  Poulain, Sylvine Lorjéou-Josquin et Sabine Jehanno.
    J'y serai malgré ce temps indécis!

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    Un petit passage par le sud de la Tunisie, le village berbère de Toujane, servi de décor pour le film "la Folle" de René VAUTIER, objectif de Sylvie VERDI, pour laquelle cette étendue évoque le Utah, le Wyoming!!!

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  • Parce que...

      Je me vide la tête ! Vaines efforts !! Je suis vide, je coule dans le vide en silence, je ne suis pas triste, mais je ne veux pas parler parce que je ne veux pas penser, penser me fatigue plus que vivre, parce que vivre me fatigue aussi ! Je préfère ne pas parler, et je n’écoute plus, je ne m’ennuis pas de mon silence on appelle ça la paresse mentale, j’appelle ça une touche mute !

      Et là j’ai mal à la tête parce que j’écris, parce que je recommence à penser, et que je ne peux pas écrire sans penser. Oh que c’est compliqué !!! Je traîne dans la vie comme une jambe mutilée d’un chat chanceux qu’une voiture à pris le soin de renverser sans le tuer, je traîne comme cette jambe attachée au corps par un petit morceau de chaire vivante, plus la chaire est vivante plus ça fait mal !

     La question sera, quand est ce que la jambe se détachera-t-elle du corps ? Parce que je pense qu’elle ne peut se réparer !

      Je suis sortie, et j’ai par hasard vu une ancienne amie et ce n’était que par pur hasard, cette amie fait partie de la maudite liste des gens que je rencontre et qui sont justement sur le point de partir quelque part !! Mes feuilles mortes se ramassent à la pelle!

      Hasard ! "Dieu a choisi l’hasard pour parler aux Hommes", et mon Dieu que c’est vrai ! Nietzsche  ne s’est pas du tout trompé ! Il a seulement oublié d’établir une pierre de rosette pour déchiffrer ce langage divin ! Dieu essaye de me parler, à travers ce langage de signes d’événements soigneusement imprévisibles que je ne comprends pas ! et ce n’est que parce que je me noies dans ce vide, là où tout perd son sens, le vide c’est comme si je suis dans un rêve alors que je suis réveillée, comme si je flotte sur le dos à la surface d’une eau calme « comme de l’huile » , une brume épaisse m’enveloppe, tous mes sens s’arrêtent net, mon cerveau fixe une image unique, une étoile filante en mode très ralenti, jusqu’à ce qu’elle se perd dans le néant noir et s’éteint, là je m’éteint aussi. Bienvenue dans le vide, aller gratuite, retour « aucun n’est encore signalé ».


     

  • SNAPSHOTS 1

    Un oeil sur Bizerte, celui de Sabrine BELKHOUJA  

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  • Photo passion

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    Tunis Street Scene, Yassine HAKIMI       

     

    "Photographie de la Tunisie" un groupe sur Facebook que je visite souvent à la recherche de nouvelles prises capturées par des chasseurs d'images à l'œil perçant qui promènent leur réflex pour immortaliser un moment de beauté, et je découvre une Tunisie qui regorge de richesse et de personnages, plus de 6000 photos, un voyage dans le temps les saisons les visages et l'espace, un vrai plaisir à partager.

     

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    Touareg Boy, Hamdi BEN AHMED   
     
  • Le bey Hussein et son esclave

      "Hussein ben ali,alors qu'il n'était que général, avait acquis un esclave français du nom de Reynaud, originaire de toulon. Raynaud était intelligent et fort dévoué à son maitre qu'il aida à conquérir le trône au péril de sa vie. 
     
      Une fois bey, Hussein ben Ali aimait à consulter Reynaud sur les affaires publiques et il avait une telle confiance en lui en ce serviteur qu'il lui avait confié la garde de ses trèsors, de sa bibliothéque et de ses effets les plus précieux.
     
      Cependant un jour pris subitement de nostalgie, Reynaud s'embarqua clandestinement sur un bateau et regagna sa patrie; il avait laissé en partant, bien en évidence sur un meuble, une lettre à l'adresse de son maître, le priant de lui pardonner son départ brusqué, car il ne pouvait plus vivre loin de son pays.
     
      Non seulement le bey Hussein pardonna à Reynaud sa fuite mais avec sa générosité coutumière, il lui envoya un bateau plein de blé et ne cessa, par la suite d'avoir de cordiales relations avec son ancien serviteur,au point que les capitaines de navires qui se recommandaient de lui étaient sûrs de recevoir bon accueil à Tunis."
     
    source: "Petite histoire de la Tunisie" à l'usage des Ecoles Primaires de la Règence.
     M. REGAGNON et A. PELEGRIN. 1951

     

  • Une richesse Klee

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    Pendant un cours au Bauhaus, Paul Klee demande à ses étudiants de lui montrer comment on peut voir une richesse à partir d'un cercle et une droite, les étudiants ont dessiné des droites qui coupent des cercles les transpercent, de façon inégale, franche, symétrique, sinusoidale... d'autres ont fait passé la droite à travers le cercle qui ressemble à une lentille, un miroir brisé, le cercle reste intact et la droite se dévie, se brise, se torde... effectivement on en voyait de la richesse, l'interaction entre le fluide et le solide, le combat et l'amitié, le qui vainc qui... l'une de ses formation me rappelle le logo même du Bauhaus peint par Schlemmer, je me demande si c'est le cours de Klee qui se base sur l'œuvre de Schlemmer ou est ce que c'est Klee qui inspire Schlemmer?


    Je pense que Klee est un grand philosophe, c'est bien lui qui définisse la croissance comme étant " le mouvement progressif de la matiére sur un modéle fixe". C'est bien lui le père des anges amusants charmants qui me chatouillent la vision, me murmurent "The Carol of Bells",  Angelus novus, Angel applicant, Bell angel, Forgetfull angel, l'ange oublieux mon préféré.

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      Il y'en d'autres anges différents les uns des autres, tous intriguants, ils semblent être les muses de Paul Klee.

     

  • "Du fond de la jarre"...

    femme-1_1199631669.jpg Ma petite sœur suit des études de guidage touristique, elle a fait ses premiéres sorties dans le sud de la Tunisie, Touzeur le portail du désert, Gbelli, Douz, Chott el jerid et autres noms vibrants de charme, chaleur et convivialité, de toute façon ça l'est pour moi, mais pas pour tous les habitants du nord, des près et champs fertiles, mers de verdure, de Tunis et ses forêts d'immeubles, le paysage saharien ne nous tente pas beaucoup, d'autant plus qu'on supporte mal le climat rude du sud, que seules quelques 500 kilométres nous séparent.


     Bref ma petite sœur me raconte ses découvertes avec un air amusé et surpris, tout comme ces touristes qu'elle "guide" je dirais convenablement, et je découvre qu'on ne connait que très peu notre pays, l'une des anecdotes nous a tous fait rigoler, j'ai déja visité Touzeur, et j'ai vu les femmes, les rares femmes dans les rues, toutes en tenue spéciale, la "lahfa" qui est un drap en laine noir mince mais pas transparent, pas comme celui des femmes du nord, qui portaient ( je ne les vois plus se balader ainsi sur Tunis) le "safsari" un drap fin en soie blanche, seulement je n'ai pas remarqué que cette "lahfa" porte une bande horizontale parfois blanche parfois bleue, et toute l'histoire c'est celle de la bande.

     

     


    L'esprit de tribu est encore dominant dans la région, il y'en a deux grandes familles, presque des tribus les "Chébbi", (famille du grand poéte Abu EL Kassem), et les "Hédfi", les femmes Chébbi portent les "lahfa" aux bandes bleues (plus fréquentes), et les Hédfi en portent en blanc, et si un malheureux Chébbi ose regarder une femme à la bande blanche, un regard pas très innocent, une guerre civile peut bien se déclencher, on ne joue pas avec les bandes, et les gens du sud.


    Je me rappelle avoir pris le risque de photographier des femmes dans une rue à Touzeur, des femmes Chebbi, je le sais maintenant!! je dis risque parce que un marchand me l'a déconseillé, il disait que c'est un manque de respect, c'est tout à fait légitime après l'histoire des bandes!!
    Mais il faut accorder à ces gens le mérite d'être des hotes très accueillants, modestes et naturels.

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    PS: Du fond de la jarre c'est la traduction littérale d'une expression tunisienne "min kaâ il khabia" et qui fait illusion aux jarres où nos grand-méres conservent le couscous, et au fond elle cachent des friandises, des surprises, des histoires comme celle-ci, dont on raffole, ça peut bien évoquer aussi les habitants "beldiya" d'une ville, je dirais autochtones en quelque sorte.

     

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  • Charlot... comme un sourire

     Le samedi 29 aout, aura lieu à Corsier-sur-Vevey, une course pédestre pour rendre hommage au grand Sir Charles Chaplin, le grand artiste n'a jamais cessé de me charmer, quand j'écoute "Smile" en version Modern Times ou la version du feu Jackson, je souris presque malgré moi, "Non-sense song" me fait rire comme une gamine, Chaplin a enchanté mon enfance, il enchante ma vie, immortel Charlot.

    Les paroles sans sens de "Non-sense song": charlie-chaplin.jpg
     
    Se bella giu satore
    Je notre so cafore
    Je notre si cavore
    Je la tu la ti la twah
    La spinash o la bouchon
    Cigaretto Portabello
    Si rakish spaghaletto
    Ti la tu la ti la twah
    Senora pilasina
    Voulez-vous le taximeter?
    Le zionta su la seata
    Tu la tu la tu la wa
    Sa montia si n'amora
    La sontia so gravora
    La zontcha con sora
    Je la possa ti la twah
    Je notre so lamina
    Je notre so cosina
    Je le se tro savita
    Je la tossa vi la twah
    Se motra so la sonta
    Chi vossa l'otra volta
    Li zoscha si catonta
    Tra la la la la la la

     

     

  • Blasée...

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                                                                                                           soliman

    Ce matin... en prenant mon café, je me suis sentie débordée, j'etouffe presque, la mer en face me parait indifférente, et j'ai eu une envie soudaine de fixer cet instant, de ne plus bouger, de devenir un tableau, je veux subir la vie au lieu de continuer à penser que je dois absolument fournir un effort pour vivre.

     

  • Cucaracha

     

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    J'étais une lectrice fidéle de "Sciences et vie junior", puis j'ai acquis des connaissances scientifiques qui dépassent ce niveau junior, seulement je n'ai pas cessé d'avoir envie de jeter un coups d'œil sur les numéro que je trouve quand j'achéte le "Jeune afrique", "Sciences et vie" ou encore "Paris match", les illustrations, les sujets amusants et instructifs, mais surtout, je m'accroche à la premiére page, "Cucaracha" le monde de la blatte savante, une bande dessinée trés marrante, fruit de collaboration entre Marino DEGANO scénariste et Laurent SALLES dessinateur, j'espère qu'ils en fassent des albums, quoique je consulte parfois le site, qui est d'ailleurs pas mal conçu, je lis quelques épisodes en ligne, mais je préfére aller chercher le magazine comme je le faisais au collége, j'adore toucher le papier. Voici le lien http://www.cucaracha.fr 

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  • Un temps d'été

    Le Ramadan c'est pour bientot, l'été est mourant, en réalité je supporte peu la lumiére perçante, mais cet été, je me sens épanouie, et je ne veux pas en finir, presque tous les jours je pars quelque part, je suis en vacances depuis... euuh avril!! ( mais surtout...exclusivement, parce que je me suis reconcilié avec lui) et je veux encore un peu de temps! pour une croisière, un camping peut être, une partie de pêche, encore des baignades dans des plages que je ne connais pas, il y en a tellement qu'on peut passer chaque jour de l'été dans une plage différente, des dunes de sables, des sables blancs, noirs et blancs, jaunâtre, rougeatres, granuleux, pierreux, pleins de coquillages... falaises, fôrets de pins ou d'oliviers, hôtels ou tentes, populaires ou privées... ce soir, je profite de ma terrasse calme face aux palmiers, un doux parfum de "fell", j'écoute en boucle la deuxiéme Rhapsodie hongroise de Liszt, et je mange des "baklawas" et "rouzata", quel bonheur de se trouver ici, il manque que lui.

     

     
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    J'ai prix ces photos sur la route de Hawaria, les oliviers, le champs d'éoliennes et le levée de la lune, une pleine lune sanguine, la plage qui se noie dans la brume du crépuscule, Pantelleria qui s'efface de l'horizon, un paisible spectacle du début de l'été.